Morgan LansMaître de conférences en sociologie
TREE
UPPA - Campus universitaire Collège SSH - UMR 6031 TREE Institut Claude Laugénie Avenue du Doyen Poplawski 64000 PAUmorgan.lans @ univ-pau.fr
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Parcours
Docteur en sociologie (Qualifié CNU Section 19)
Prix de thèse interdisciplinaire de la Maison des Sciences de l’Homme
Prix de la recherche européenne de la Maison de l’Europe
Fellow de l’Institut Convergences Migrations
Membre du programme LocalAcc
Participant au projet CAUSIMMI
2024 : Maître de conférence en sociologie (contractuel). Université de Pau et des Pays de l’Adour.
2023-2024 : Chargé de recherche pour la Fondation de France.
2022-2023 : Attaché temporaire d’enseignements et de recherche. Faculté de sociologie. Université de Bordeaux (192 h).
2020-2021 : Attaché temporaire d’enseignements et de recherche. Faculté de sociologie. Université de Bordeaux (192 h).
2020- … : Membre du programme LocalAcc dirigé par Bénédicte Michalon et Thomas Lacroix.
2020- … : Membre de l’Institut Convergences Migrations dirigé par François Héran. Département « Integer ».
2019-2020 : Chargé d’enseignements, CDD LRU, Faculté de sociologie. Université de Bordeaux (96h).
Septembre – avril 2019 : Chargé d’enseignements pour étudiant.es étranger.es à Bordeaux. Université de Middlesbury.
2018-2019 : Doctorant contractuel avec Mission d’enseignements, Faculté de Sociologie. Université de Bordeaux (64h).
2018-2022 : Codirection de l’Axe de recherche « Sociologie(s) de l’International », Centre Émile Durkheim (UMR 5116) avec Andy Smith, Kenza Afsahi et Caroline Dufy.
2017-2022 : Codirection de l’Atelier Méthode, Centre Émile Durkheim, avec Viviane Le Hay et Laure Squarcioni [CED] (2017-2019), et Marie-Laure Pouchadon [Passages] (2019- …).
Janvier - juin 2018 : Chargé d’enseignements pour étudiant.es étranger.es. Centre de Californie.
2017-2018 : Doctorant contractuel avec Mission d’enseignement, Faculté de Sociologie. Université de Bordeaux (64h).
2016-2019 : Contrat doctoral du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, sous la codirection d’Olivier Cousin et Claire Schiff (co-encadrante).
Février - juin 2016 : Chargé de recherche pour la Conférence des Grandes Écoles. Rédaction d’un rapport sur « Les modalités d’admission dans l’enseignement supérieur. Comparaison entre l’Italie, l’Allemagne, la Suède et l’Angleterre ».
2015-2016 : Tuteur à la Faculté de Sociologie, Université de Bordeaux.
FORMATION ACADÉMIQUE
2016 - 2022 : Doctorat en sciences sociales, sous la direction d’Olivier Cousin et de Claire Schiff (co-encadrante), Université de Bordeaux, Centre Émile Durkheim
Titre : « Les dynamiques de l'intégration. Associations d'aide aux migrants et sociétés au coeur des espaces français, espagnol, et danois. »
2015-2016 : Master en sciences humaines et sociales (Recherche), mention Sociologie, « Problèmes sociaux et action publique », parcours « Sociétés, pouvoirs et Représentations ». Université de Bordeaux (Mention B).
Titre : « La construction du processus social d’intégration : comparaison entre deux associations professionnelles et spécialisées (Bordeaux et Aarhus) ».
2014-2015 : Cursus de Master 2 en Sciences sociales à l’Université de Copenhague.
2013-2014 : Master 1 Sociologie, Université de Bordeaux (Mention B).
Titre du mémoire : « Du particulier vers l’Universel. Les associations dans le processus d’intégration des populations migrantes. Partir d’une association référente à Bordeaux ».
2010-2013 : Licence de Sociologie (Mention B), Université de Bordeaux.
2009 : Baccalauréat série « Sciences Économique et Sociales ».
Compétences
Sociologie et socio-économie des associations
Sociologie de l’immigration et de la réception
Sociologie politique de l’action publique (multi-niveaux/multi-acteurs)
Sociologie des villes
Sociologie de l’État, de la citoyenneté et de l’État-providence
Méthodes en sciences sociales ; méthode comparative
Thèmes de recherche
2023-2024 : Rédaction d’un rapport. Le champ de l’antiracisme en tension : des conflits internes aux cadrages idéologiques. Les associations de luttes contre les discriminations liées à l’origine dans la France du début du XXI ème siècle.
Résumé : Les divergences au sein de l'antiracisme français ne sont pas nouvelles. Dans l'entre-deux-guerres, des distinctions étaient déjà présentes entre les associations se revendiquant des approches républicaines, comme la Ligue internationale contre l'antisémitisme ou la Ligue de la défense des droits de l'homme, et celles s'appuyant sur une lecture anticoloniale, telles que l'Étoile nord-africaine ou la Ligue de Défense de la Race nègre. Ces dissensions ont perduré après la Seconde Guerre mondiale, notamment autour du rapport avec la résistance et le parti communiste, puis avec les guerres de décolonisation, contribuant à l'émergence d'associations tiers-mondistes telles que l’Asti, le GISTI et le MRAP, etc. À partir des années 1980, sous l'impulsion de l'association SOS racisme, certaines associations ont contesté les approches politiques de transformation des rapports sociaux et des pratiques étatiques au sein de l'antiracisme. Elles ont préféré s'allier avec les pouvoirs publics pour atteindre leurs objectifs, donnant naissance à de nouvelles conceptions individualistes, morales et culpabilisantes de l'antiracisme. Cette transformation a conduit à une dépolitisation progressive des luttes contre les discriminations raciales, avec une hégémonie des conceptions républicaines et intégrationnistes.
Depuis le début des années 2000, de nouvelles associations telles que le Parti des Indigènes de la République, le Conseil Représentatif des Associations Noires de France, la Brigade Anti-Négrophobie, et les collectifs issus des quartiers populaires se sont formées. Elles s'inscrivent dans un antiracisme critique, dénonçant le caractère structurel, systémique et postcolonial du racisme, ainsi que le rôle des autorités publiques, en particulier de la police. Ces associations cherchent à éviter la récupération politicienne, défendent leur autonomie d'action et luttent pour la reconnaissance des quartiers et des minorités. Les polarisations actuelles au sein du paysage associatif antiraciste résultent ainsi de dynamiques historiques et organisationnelles profondes, liées notamment à des conceptions du racisme (structurelles/individuelles), du sujet légitime de la lutte antiraciste (le tiers antiraciste/le racisé) et du rapport aux autorités (autonomie/partenariat). Cependant, le contexte politico-idéologique actuel est peu favorable à la rhétorique antiraciste, avec une montée de la droite radicale et de l'extrême-droite dans les démocraties européennes, y compris en France.
En France, des mesures récentes telles que la loi séparatisme, la mise en place du Contrat d'engagement républicain pour les associations demandant des subventions, ainsi que les menaces de dissolution à l'encontre de certaines organisations, limitent l'intervention de l'antiracisme dans l'espace public et son rôle de contre-pouvoir démocratique. Des associations ont subi des pressions financières et matérielles, compromettant leur capacité d'expression. Le discrédit symbolique s'exprime à travers des termes tels que "communautarisme", "islamo-gauchisme", "séparatisme" et "ennemi de la République". La situation est complexe et nécessite une analyse approfondie des acteurs de la lutte antiraciste, prenant en compte les dynamiques internes et externes. Cette analyse doit explorer les objectifs, les valeurs, les répertoires d'action, les critiques sociales et les rapports avec le militantisme, les mouvements sociaux et les autorités publiques. Une typologie des associations peut être établie en tenant compte de ces éléments, tout en prenant en considération la diversité des acteurs et des contextes locaux. Une méthodologie comprenant des entretiens approfondis, des discussions collectives et une restitution des résultats aux parties concernées serait appropriée pour une étude exhaustive de ce paysage complexe de la lutte antiraciste en France.
2022 – 2023 : Projet non-financé sur les contraintes étatiques rencontrées par les associations d’aide aux migrant.es dans la France contemporaine (non financé), et leur capacité de résistance pour maintenir leur autonomie d’action.
2016-2022 : Rédaction d’une thèse doctorale portant sur le rôle des associations d’aide aux migrant.es et leur rapport à l’État, à partir d’une comparaison internationale.
Titre : « Les dynamiques de l’intégration : Associations d’aide aux migrants et sociétés au cœur des
espaces français, espagnol et danois », p.414.
Terrain d’enquête à l’étranger : Plusieurs mois d’enquête en Espagne, plus précisément dans la communauté autonome basque (Bilbao et ses environs), ainsi qu’au Danemark (Aarhus et ses environs) ont été mené dans le cadre de cette thèse doctorale.
Résumé : Cette thèse traite de la façon dont se conçoivent les modalités d’intégration des émigrés/immigrés et le rapport légitime qui se déploient à leur égard dans les espaces français, espagnol et danois. Alors que les recherches classiques se sont concentrées sur les « pensées d’État » pour saisir les manières de faire et d’imaginer ces processus, nous avons mené une enquête qualitative, comparée et immersive auprès d’une dizaine d’associations d’aide aux migrant.es, agissant dans des contextes locaux (Bordeaux, Bilbao et Aarhus), afin d’analyser les dynamiques sociétales et multiniveaux qui les structurent.
À Bordeaux, les associations s’inscrivent dans la continuité d’une logique civique des modalités d’intégration étatique en mettant l’accent sur la question du droit et en défendant la figure de l’individu-citoyen. L’examen de leurs activités montre qu’elles sont les derniers bastions d’un idéal républicain, dans la mesure où elles considèrent que l’État n’est plus en accord avec les valeurs qu’il prône et les réalités multiculturelles auxquelles il répond. En ce sens, les associations françaises refusent les démarches assimilationnistes pour revendiquer l’émergence d’un interculturalisme républicain. À Bilbao, les acteurs associatifs sont les principaux garants du soutien aux étrangers. Ils interviennent au même titre qu’ils le font auprès des plus exclus de la société basque, selon une logique intégrale reconnaissante de l’entièreté, ainsi que de la particularité, de chaque personne et ses problèmes. D’une manière générale, leurs activités sont pensées dans un cadre local et de façon
pragmatique. Dans une logique de coopération-conflictuelle avec les autorités publiques, elles défendent par ailleurs l’idéal d’une société interculturelle reconnaissante de son pluralisme inhérent. À Aarhus, les associations agissent dans la continuité d’un imaginaire ethnique de la citoyenneté étatique, tout en défendant des postures universalistes. Elles estiment ainsi qu’il importe de maintenir les fondements d’une spécificité danoise. Dans une logique de coopération avec les pouvoirs publics, elles cherchent donc à la diffuser auprès des nouveaux arrivants. Toutefois, elles résistent sur le terrain à la logique d’exclusion promue par l’État, en mettant en œuvre un accueil bienveillant, considérant en dernière instance les étrangers comme des Danois à en devenir.
Nos résultats montrent que les dynamiques d’intégration résultent de la façon d’agir, de penser, de ressentir, ainsi que de s’organiser, d’acteurs encastrés dans des configurations sociohistoriques cohérentes, animées par des logiques de stratifications spatiales, de protection sociale, ainsi que de cultures civico-politiques, productrices d’interdépendances sectorielles particulières. Elles ne se limitent donc pas à des « pensées d’État ». Par conséquent, les comparaisons portant sur la fabrique des modalités d’intégration, doivent prendre en compte la force déterminante des cohérences sociétales qui produisent, à partir de ce qu’elles sont, certaines régularités dans le rapport aux « autres ». Il serait pertinent de multiplier les lieux d’enquête afin d’affiner nos connaissances sur les mécanismes que nous avons mis en avant dans ce travail. Par ailleurs, il conviendrait d’étudier de manière plus approfondie les relations entre associations d’aide aux migrants et autorités publiques, en nous positionnant de façon plus systématique du côté de ces dernières. Enfin, une analyse détaillée et comparée des logiques intra-organisationnelles, interindividuelles ainsi que cognitives du rapport aux étrangers, préciserait nos connaissances des dynamiques de l’intégration.
2016 : Rapport pour la Conférence des Grandes Écoles « Les procédures d’admission dans l’enseignement supérieur au regard de quatre pays Européens : Royaume-Uni, Suède, Allemagne, Italie » p.68.
Résumé : Pour saisir les conditions d’admission et d’accès dans l’enseignement supérieur, il faut bien distinguer les conditions d’éligibilité, des procédures de sélection. Néanmoins on peut voir d’après cette étude que l’admission et l’orientation dans l’enseignement supérieur sont souvent déterminées dès le secondaire, même si les diplômes ne font pas tout. Le système britannique, détenant en apparence un système unifié, connait en fait une forte diversification en termes de prestige scolaire entre ces établissements qui conditionnent en grande partie l’entrée dans de « grandes universités ». En Suède, les réformes libérales de l’éducation ont en partie impacté sur la cohésion d’un système unifié. Cependant on observe peu de différenciation à l’oeuvre entre les établissements. Par contre, il existe une forte segmentation menant à forte « dépendance au sentier » chez les élèves Allemands. Dès l’âge de 10 ans, ils doivent choisir entre trois formes de parcours scolaires plus ou moins spécialisées. Enfin, le système italien se rapproche du système français avec un tronc commun jusqu’au environ de 14 ans donnant lieu à une séparation en trois axes d’enseignement. Dans beaucoup de pays les diplômes sont un critère d’éligibilité mais ils ne le sont ni de manière systématique, ni de manière exclusive, et souvent ce qui compte c’est le lieu où l’on a obtenu le diplôme. C’est surtout en France et en Italie, à moindre degrés en Allemagne, que les diplômes sont un critère quasiment indispensable. De ce fait, on peut refuser les analyses classificatrices en termes de systèmes « ouverts » et « fermés ». D’autant plus que les taux d’accès et d’obtention des diplômes de l’enseignement supérieur ne reflètent pas nécessairement le type de sélection à l’entrée. En effet, les systèmes d’admission dit « non sélectifs » procèdent finalement à une sélection pyramidale en cours de parcours, et a priori dans le secondaire. Ils ne sont pas forcément plus inclusifs en réalité et n’offrent pas mécaniquement une plus grande égalité des chances. Un système plus « sélectifs » peut également avoir un nombre de place disponible supérieur à la demande, différentes voies d’accès, des critères diversifiés ou encore prendre en compte des modalités plus individuelles et contextuelles. Finalement ce sont surtout les processus politiques, les choix et les incitations avant et après l’admission qui influencent l’accès dans le système d’enseignement supérieur. Il est donc important de penser l’information et la formation au courant du secondaire, avant et après l’inscription définitive dans un cursus, afin d’améliorer l’aptitude à l’orientation, l’accès au supérieur et la réussite scolaire. Il est aussi nécessaire de penser les remises à niveau et les formations aux méthodes de travail tout au long de la vie pour offrir de nouvelles chances aux « exclus » du système et ne pas faire du processus d’apprentissage, celui d’un apprentissage de l’échec.
Projets
A CT I V I T É S D E R E C H E R C H E
2023-2024 : Rédaction d’un rapport. Le champ de l’antiracisme en tension : des conflits internes aux cadrages idéologiques. Les associations de luttes contre les discriminations liées à l’origine dans la France du début du XXI ème siècle.
Résumé : Les divergences au sein de l'antiracisme français ne sont pas nouvelles. Dans l'entre-deux-guerres, des distinctions étaient déjà présentes entre les associations se revendiquant des approches républicaines, comme la Ligue internationale contre l'antisémitisme ou la Ligue de la défense des droits de l'homme, et celles s'appuyant sur une lecture anticoloniale, telles que l'Étoile nord-africaine ou la Ligue de défense de la Race nègre. Ces dissensions ont perduré après la Seconde Guerre mondiale, notamment autour du rapport avec la résistance et le parti communiste, puis avec les guerres de décolonisation, contribuant à l'émergence d'associations tiers-mondistes telles que l’Asti, le GISTI et le MRAP, etc. À partir des années 1980, sous l'impulsion de l'association SOS racisme, certaines associations ont contesté les approches politiques de transformation des rapports sociaux et des pratiques étatiques au sein de l'antiracisme. Elles ont préféré s'allier avec les pouvoirs publics pour atteindre leurs objectifs, donnant naissance à de nouvelles conceptions individualistes, morales et culpabilisantes de l'antiracisme. Cette transformation a conduit à une dépolitisation progressive des luttes contre les discriminations raciales, avec une hégémonie des conceptions républicaines et intégrationnistes.
Depuis le début des années 2000, de nouvelles associations telles que le Parti des Indigènes de la République, le Conseil Représentatif des Associations Noires de France, la Brigade Anti-Négrophobie, et les collectifs issus des quartiers populaires se sont formées. Elles s'inscrivent dans un antiracisme critique, dénonçant le caractère structurel, systémique et postcolonial du racisme, ainsi que le rôle des autorités publiques, en particulier de la police. Ces associations cherchent à éviter la récupération politicienne, défendent leur autonomie d'action et luttent pour la reconnaissance des quartiers et des minorités. Les polarisations actuelles au sein du paysage associatif antiraciste résultent ainsi de dynamiques historiques et organisationnelles profondes, liées notamment à des conceptions du racisme (structurelles/individuelles), du sujet légitime de la lutte antiraciste (le tiers antiraciste/le racisé) et du rapport aux autorités (autonomie/partenariat). Cependant, le contexte politico-idéologique actuel est peu favorable à la rhétorique antiraciste, avec une montée de la droite radicale et de l'extrême-droite dans les démocraties européennes, y compris en France.
En France, des mesures récentes telles que la loi séparatisme, la mise en place du Contrat d'engagement républicain pour les associations demandant des subventions, ainsi que les menaces de dissolution à l'encontre de certaines organisations, limitent l'intervention de l'antiracisme dans l'espace public et son rôle de contre-pouvoir démocratique. Des associations ont subi des pressions financières et matérielles, compromettant leur capacité d'expression. Le discrédit symbolique s'exprime à travers des termes tels que "communautarisme", "islamo-gauchisme", "séparatisme" et "ennemi de la République". La situation est complexe et nécessite une analyse approfondie des acteurs de la lutte antiraciste, prenant en compte les dynamiques internes et externes. Cette analyse doit explorer les objectifs, les valeurs, les répertoires d'action, les critiques sociales et les rapports avec le militantisme, les mouvements sociaux et les autorités publiques. Une typologie des associations peut être établie en tenant compte de ces éléments, tout en prenant en considération la diversité des acteurs et des contextes locaux. Une méthodologie comprenant des entretiens approfondis, des discussions collectives et une restitution des résultats aux parties concernées serait appropriée pour une étude exhaustive de ce paysage complexe de la 2022 – 2023 : Projet non-financé sur les contraintes étatiques rencontrées par les associations d’aide aux migrant.es dans la France contemporaine (non financé), et leur capacité de résistance pour maintenir leur autonomie d’action.
2016-2022 : Rédaction d’une thèse doctorale portant sur le rôle des associations d’aide aux migrant.es et leur rapport à l’État, à partir d’une comparaison internationale.
Titre : « Les dynamiques de l’intégration : Associations d’aide aux migrants et sociétés au cœur des espaces français, espagnol et danois », p.414.
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